Aujourd’hui, grâce à plusieurs organisations, la France est parmi le top 1 des pays européens pratiquants les sports de passion, à savoir : les courses de galop ou de trot. Le principal objectif de ses entreprises est de protéger le développement de certaines races de chevaux. En effet, ce n’est pas toutes les races des chevaux qui peuvent pratiquer ces courses, il s’agit des sang-pur issus du cheval européen et du cheval arabe. Néanmoins, l’objet de notre article aujourd’hui, est porté sur les courses de trot, et tout ce qu’il faut savoir à ce sujet.
Les courses de trot : définition et historique
Par définition, les courses de trot, à l’inverse des courses de galop, s’agissent de donner la plus grande vitesse sans galoper. Ces pratiques ont existé depuis plusieurs décennies, certains parlent d’avant le dix-septième siècle en incluant les pratique anglaises. Mais en approfondissant un peu nos recherches, nous avions trouvé que c’est bien plus qu’une tradition, mais un PATRIMOINE. En effet, le berceau ou la mère fondatrice des trotteurs français était à Caen, avec la création de la société du cheval en 1864. Il est à noter aussi, que la confrontation des chevaux en course de trot existait quelques années auparavant en 1836, bien qu’aucun nom lui a été attribué. Ainsi, ce jeu ou comme certains l’appellent, cette culture existe depuis la nuit des temps en France. C’est pourquoi il est plus question de mœurs que d’un simple divertissement.
Les courses de trot : comprendre leurs organisations
Dans les débuts des années 2000, on compte plus de 9000 courses de trot organisées avec la collaboration de plusieurs centaines de sociétés. Pour vulgariser au maximum l’organisation de ses pratiques, il est porté à la connaissance de nos lecteurs, qu’une performance financière assez importe et des allocations sont déployées pour la protection de la bête, et pour son bon entretien. L’événement est ainsi, préparé des mois à l’avance. A ceci s’ajoute, le terrain et les obstacles (si nécessaires pendant cette course) qui devraient être entretenus au préalable sur le long terme. Il est préférable de se contenter de ces détails pour comprendre au mieux et pour les résumer, il n’y a pas plus simple, les voici :
- déployer des performances financières importantes ;
- avoir des partenariats ou des collaborateurs ;
- organisation rigoureuse et méticuleuse en amont ;
- la non-négligence du terrain.
Les courses de trot en Europe :
L’union européenne du trot rassemble plus de 12 pays. Cette union a été fondée dans le début des années 1970 par trois pays responsables des courses de trot, à savoir : l’Italie, la Scandinavie et l’Allemagne. Ce dernier travaille au mieux pour ne pas faire entrer ou pour éviter les infiltrations des ambleurs. Cependant, c’est la seule union dans toute l’Europe. Alors, il est claire que tout est à son avantage, il n’y a ni concurrents, ni rivaux, ni même la variation des prestations financières, ce qui favorise l’élevage d’une race assez spéciale, et l’emploie des nouvelles recrues. L’établissement bénéficie d’une image marketing favorable, capable d’attiser l’intérêt et la curiosité des étrangers, en suscitant ce que l’on appelle la visibilité. D’ailleurs, les Etats-Unis en entendent parler, grâce aux titres gagnés et reconnus dans plusieurs pays.
Les courses de trot : ce qu’il faut retenir
Bien qu’on ne le mentionne pas assez souvent, ce qu’il y a de plus attractif dans une activité, est son accessible en terme de prix. Ces derniers varient selon l’établissement évidemment, ou selon l’âge. Mais on retrouve partout plus ou moins le même tarif. Les courses de trot sont gratuites pour les moins de 18 ans ayant à leur avantage une carte privilégiée certifiée par la PMU. Pour les personnes entre 25 et 60 ans, les prix sont de tarif réduit à 1.5 euro.